1ère année - Les débuts à l'académie - RP

La journée se passe sans incident.

Sipius prend la parole en fin de journée

"Je ne vous aies pas fait part du programme de cette année."
"Le printemps et l'été seront consacrés à de la théorie magique"
"L'automne sera libre de choix, vous aurez comme option de suivre un cours de magic lore, philosophae, artes libérales, parma, finesse, concentration de pratiquer avec un maître une activité comme le maniement des armes, la pratique de métier ou de choisir un summae dans notre bibliothèque restreinte sur un art spécifique"
"L'hiver sera pris en charge par votre Pater"

"Je suis assez satisfait de la plupart d'entre vous...à l'exception de vous jeune homme" Il s'approchait lentement du bureau de Juan.

"Je ne sais pas ce que vous avez fait hier soir, mais vous semblez peu attentif et de plus vous n'avez d'yeux que pour la gente féminine de cette classe"

"J'attends de vous plus de concentration sur mes enseignements!" dit-il en te fixant sans cligner des yeux.

Les élèves de la classe n'osaient pas regarder, ils avaient pour la plupart l'air plutôt soulagé de ne pas être la cible de Sipius.

"Revenons au sujet initial, je voudrais vous montrer notre bibliothèque et l'endroit ou vous pourrez venir étudier ces summaes si vous en faites le choix."

"Suivez-moi!"

Sipius vous mena à la grande tour.
Arrivée à l'entrée, il dit dans le vide "Ils sont avec moi, vous pouvez ouvrir les portes". Pour ceux qui voyaient l'invisible, deux spectres de légionnaires romains gardaient les portes d'entrées.

A l'intérieur, de la tour, il y avait une porte marquée d'un sanctum, un escalier montant et un descendant. Sipius emprunta l'escalier descendant.

Arrivé en bas, la porte est clairement d'excellente facture et on ne distingue aucune serrure.
Sipius approche son main et la place sur la porte, celle-ci s'ouvre l'instant d'après.

Vous entrez dans une pièce de lecture entourée d'étagère remplie de summaes.


Vous voyez également toute une floppée de créatures volantes qui passent leurs temps à nettoyer, épousseter et ranger les étagères.

"Ne faites pas attention, ce sont des doxys"


"Voilà, je vous laisse regarder quelques dizaine de minutes pour vous donner une idée de l'état de la bibliothèque et de son contenu."

"Vous pouvez ouvrir et regarder un summae ou tractatus mais il vous sera impossible de le sortir de la pièce."

"Sans vouloir vous manquer de respect Maître Sipius, ce que j'ai fait hier soir ne vous regarde en rien.
Et cela n'entraine en rien une baisse de ma concentration pour vos cours qui sont tout ce qu'il y a de plus interressant.
Quant à la gente féminine de cette classe, il est vrai que je n'y suis pas indifférent, mais comment rester de marbre devant autant de jolies femmes?"

A ces derniers mots, Juan lance un discret clin d'œil en direction de Sofia,l'apprentie Tremere, puis reprend

"Si les hommes n'étaient pas intéressés par les femmes, comment serions nous tous venus au monde?
Mais j'essaierai de m'appliquer encore plus lors de vos cours, Magister"

Et sitot sa phrase finie, Juan s'eclipse entre les étagères de la bibliothèque afin de rejoindre Jeanne, l'apprentie Flambeau, pour apprécier la beauté des ouvrages.

Sipius regarda le jeune Juan lui tourner le dos avec un sourire mauvais.

"Juan!?" dit-il à haute voix

"A partir de demain, comme vous vous y êtes engagé, je compte donc sur votre INDEFECTIBLE implication dans mes cours!"

Sofia posa son regard de Sipius vers Juan légèrement amusée par ces échanges. Elle détourna la regard quand Juan lui fit un clin d'œil pour ne pas montrer que ses joues si pales avaient rougies.

Jeanne s'extasiait devant des summaes et tractatus Ignem quand elle vit Juan s'approcher, elle fit mine de plonger la tête pour admirer les ouvrages.

Pendant ce temps, Marie regardait les différents ouvrages et s'attardait sur les summaes écrit par des Bonisagus tout en tentant de se rappeler des mages en questions.

Les Doxy voletaient dans la pièce sans prêter attention aux apprentis, après qu'un ouvrage fut déplacé, inlassablement ils passaient derrière pour le remettre exactement en place et parfaitement alignés par rapport aux autres livres.

Draco vu le bjornaer avait légèrement griffé un ouvrage par mégarde et rapidement un doxy se présenta, de sa bouche sortit un espèce de liquide épais qu'il utilisa pour recouvrir la griffure, il étala la substance jusqu'à ce que la griffe disparaisse complètement.

Draco se contentait de se réjouir de la tournure des évènements.
Tout en feuilletant l'un ou l'autre summae de théorie magique.

Profitant de l'intimité offerte par les rayonnages de livres, Draco s'approche de Marie.
Quand il est tout près d'elle il sort un paquet entouré d'un fin linge blanc de son cartable.

"Voici pour toi.
Je l'ai faite faire sur mesure pour toi.
Mon but dans ce petit jeu était tout premièrement de trouvé un prétexte pour pouvoir te faire un cadeau et tu as réussit bien mieux que je ne m'y attendait.
Il me semble donc juste de t’offrir la robe que je t'avais promise!
Si a un moment ou l'autre tu as l'envie de me faire un baiser un peux moins chaste, je serai ravis de te le rendre !"

Marie ouvre son paquet, touche le tissu et déplie la robe soigneusement.
Son regard s'illumine et ses yeux semblent briller.
elle te regarde et te fait un sourire sincère, ensuite elle te fait un bise sur la joue "Merci Draco, c'est très gentil, elle est magnifique!"
Ensuite, elle replie la robe et la remballe pour la cacher des regards.


Le lendemain matin pendant que vous êtes dans la cour, vous voyez un attroupement inhabituel.

Venant de l'entrée du château, une troupe de chevaux venaient de s'engouffrer dans la cours à travers le portail.

Ils étaient accueillis par un jeune homme que les apprentis reconnaissaient car c'est le mage qui les avaient inviter dans le covenant.

La troupe étaient composé de chevaliers, et en descendant de chevaux, certains d'entre eux prirent des petites cassettes finement ouvragée. Un des chevalier avait une armure bien plus décorée que celle des autres et on pouvait y  voir le symbole suivant.


Les chevaliers n'étaient visiblement pas heureux d'être présent et suivaient le mage dans une salle de réception.

Marie était absente au cours ce matin.

Marie revient assez vite en cours et ne semble pas dans son état normal durant les jours qui suivent.

Au bout d'une bonne semaine, elle redevient normale, et parle à nouveau avec ses camarades de classe.

Elle semble gênée vis-à-vis de Draco dans un premier temps mais au fil des jours, les deux jeunes se rapprochent.

Marie se confie à Draco :"Je suis désolé, mais ces derniers jours, j'ai été distante, mon pater était extrêmement fâché de mon comportement, il trouve que je n'étais pas sérieuse dans mes études".

"Je voulais également te dire que j'ai beaucoup aimé ton petit test de la rose mais je me suis aidée, j'ai utilisé une casting tablette de mon pater pour lancer un sort assez puissant en intelligo vim, je la lui avais empruntée sans qu'il le sache mais il l'a découvert et j'ai été punie l'autre jour, c'est pourquoi je ne suis pas venue en cours la semaine passée...."

"Tu me troubles Draco, je ne sais pas ce que je dois penser mais laisse moi du temps pour y réfléchir."


Vu par Oliver, les filles de la classe,  surtout Jeanne et Sofia trouvaient Juan fort à leurs goûts, souvent elles riaient autour de Juan et se lancaient quelques piques entre elles, ce qui fait bien sourire Juan...Juan sembalit bien conscient qu'elles étaient attirées par lui et cela énervait Oliver...
"Comment pouvaient-elles gober toutes ces salades???" se disait Oliver


Un soir de semaine, Juan se met à rêver.
Le rêve est magnifique, tu passes une agréable soirée en compagnie de voluptueuse jeune femme que tu as pu rencontrer lors de tes soirées de débauche.

Tu rentres au covenant et dans ta chambre, tu retrouves tes camarades de classes et tu passes une agréable soirée, il y a beaucoup de vin et de nourriture, du raisin, des fruits et des petits gâteaux, les filles sont légèrement vêtues et laisse ton imagination discerner leurs corps.

Tu te sens vraiment bien et elles t'attirent mais tu ressens aucune excitation, tu vois ensuite Draco qui embrasse Marie et tu ressens de la jalousie.

Juan ne comprend pas, Est-ce Marie qui te met dans cet état?
Non c'est Draco, c'est certains, il est tellement beau!

Juan se réveille, le rêve n'était pas désagréable, il ne se souvient pas très bien, il revoit ses camarades de classe en tenue légère mais semble troublé!

A un moment où Draco est seul, je m'arrange pour le trouver:

(sans la moindre animosité, et sur un ton tout ce qui est de plus calme et placide)
"Draco, que tu veuilles mettre Marie dans ton lit ne me dérange pas.
Que tu fasses des manigances m'importe peu, je pourrais même m'en amuser ou t'aider si ce n'est pas dangereux pour nos études.
Mais j'ose espérer que tu auras la sagesse de ne pas t'attaquer à moi.
Je n'ai peut être pas vos don pour lancer des sorts, mais je suis loin d'être inoffensif si tu me choisis comme adversaire."

Mon cher Juan,
je n'ai pas la moindre idée de ce dont tu parles !
Je sais hélas que le sang de fée fait une mauvaise dilution dans les veines d'un mage.

Il m'avait semblé entendre que les Mercere cherchaient justement à conserver la pureté des liens de sang avec le fondateur!

Draco lance un regard méprisant à Juan:

Les temps doivent être bien désespérer pour ta maison pour qu'ils en arrivent là !

Mais il n'est pas juste de ta part de t'en prendre à plus chanceux que toi !
Sache que tu as toute ma compassion !
Et au pire si vraiment la magie t'est trop difficile, Marie et moi sommes tout près à t'aider si tu nous en fait la demande.

Mais j'espère que le principal de ta formation , c'est à dire fouiller sous des jupes, se poursuit avec tout le succès que tu en espère !

Un petit instant de silence, il était clair pour Juan que Draco ne mentait pas.

Je ne comprend rien à ce que tu me raconte !
Pourquoi Olivier m'en voudrait-il et surtout en quoi essayerait il de m'entrainer dans des ennuis avec toi ?
D'ailleurs personne ne devrait jamais se laisser entrainer où que ce soit avec toi !
Mais si tu veux mon aide il te faudra te montrer un peux plus explicite!